Après un été bien monopolisé par l'escalade et un voyage en Jordanie assez intense, les chaussons étaient restés au placard depuis plus de six mois. Comme une envie d'autre chose...
Et puis, il fallait s'entraîner un minimum pour la GTA.
Du coup, pour notre reprise en escalade, on cherchait une voie pas trop dure, ni trop longue. Amel a déjà coché pas mal de courses dans le bouquin "Sommets du Mont-Blanc, les plus belles courses de Facile à Difficile". Mais il en restait une qui correspondait à nos critères, l'approche glaciaire, le beau granit et la vue en plus. L'arête Sud de l'Aiguille Purtscheller.
Sev' est motivée, on l'encorde avec nous.
Le refuge Albert 1er est complet, mais heureusement le télésiège nous soulage d'une partie de la montée. Avec le bivouac, le matos de glacier et d'escalade sur le dos, le sac approche les 20kg.
On n'était pas les seuls à avoir eu l'idée du bivouac, du coup tous les emplacements "corrects" sont déjà occupés. On fera donc chambre séparée ce soir !
Le coucher de soleil sur le Chardonnet pour conclure un dîner presque parfait.
Réveil à 4h. Ah oui, c'est vrai, j'avais oublié que c'était ça aussi l'alpinisme...
On n'est pas les seuls sur le glacier. C'est dimanche, il fait grand beau, Welcome in Chamonix!
On n'est pas les seuls non plus à l'attaque de la voie. C'est pas grave, la course n'est pas trop longue. On se pose et on admire les 4000 Suisses. Attendre et profiter du paysage. Ce sera le thème de la journée.
Y'a du monde devant et parfois un peu juste au niveau en grosses, du coup ça guenille, ça couine et au final ça tire au clou.
Heureusement, l'arête est très jolie, jamais dure mais avec quelques pas pour pimenter l'escalade. Idéal quand on n'a pas de rési. On est content de retrouver la protogine, le fameux granit chamoniard orangé.
Bref, c'est une course idéale pour la reprise ou la découverte de l'escalade en terrain d'aventure dans un cadre dont on ne se lasse pas.
On a bien profité de cette journée en montagne en se disant, tranquille on a le temps, on est à Cham', c'est dimanche il fait beau... C'est sympa aussi la montagne à la cool. Jusqu'au moment où on s'est rendu compte qu'on allait peut-être louper la dernière benne.
S'en est suivi une descente au pas de course pour être les derniers avant le fermeture, en maudissant la personne qui avait dit à Adrien, "c'est bon, c'est facile, ça passe en grosses."
Et vu le poids du sac, on était bien content de pas se rajouter 400m de déniv' à descendre.
Les Anglais ayant déserté Chamonix, il y avait moins la queue au burger que sur l'arête. Une belle conclusion pour une belle journée.
topo
Sev' est motivée, on l'encorde avec nous.
Le refuge Albert 1er est complet, mais heureusement le télésiège nous soulage d'une partie de la montée. Avec le bivouac, le matos de glacier et d'escalade sur le dos, le sac approche les 20kg.
On n'était pas les seuls à avoir eu l'idée du bivouac, du coup tous les emplacements "corrects" sont déjà occupés. On fera donc chambre séparée ce soir !
Le coucher de soleil sur le Chardonnet pour conclure un dîner presque parfait.
On n'est pas les seuls sur le glacier. C'est dimanche, il fait grand beau, Welcome in Chamonix!
On n'est pas les seuls non plus à l'attaque de la voie. C'est pas grave, la course n'est pas trop longue. On se pose et on admire les 4000 Suisses. Attendre et profiter du paysage. Ce sera le thème de la journée.
Y'a du monde devant et parfois un peu juste au niveau en grosses, du coup ça guenille, ça couine et au final ça tire au clou.
Heureusement, l'arête est très jolie, jamais dure mais avec quelques pas pour pimenter l'escalade. Idéal quand on n'a pas de rési. On est content de retrouver la protogine, le fameux granit chamoniard orangé.
Bref, c'est une course idéale pour la reprise ou la découverte de l'escalade en terrain d'aventure dans un cadre dont on ne se lasse pas.
On a bien profité de cette journée en montagne en se disant, tranquille on a le temps, on est à Cham', c'est dimanche il fait beau... C'est sympa aussi la montagne à la cool. Jusqu'au moment où on s'est rendu compte qu'on allait peut-être louper la dernière benne.
S'en est suivi une descente au pas de course pour être les derniers avant le fermeture, en maudissant la personne qui avait dit à Adrien, "c'est bon, c'est facile, ça passe en grosses."
Et vu le poids du sac, on était bien content de pas se rajouter 400m de déniv' à descendre.
Les Anglais ayant déserté Chamonix, il y avait moins la queue au burger que sur l'arête. Une belle conclusion pour une belle journée.
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